Ces chants nous parviennent des villes oubliées de Syrie, mémoires englouties depuis trois mille ans. La voix de Noma Omran porte, dans son grain chaud et profond, la beauté ancestrale de cette culture millénaire. En résidence à la Fondation Royaumont en 2013, elle a été applaudie la saison dernière au Théâtre de la Ville à Paris. Elle est accompagnée d’un violon et de percussions orientales, qui timbrent avec subtilité la ligne de son chant.

Noma Omran chant
Jasser Haj Youssef violon, viole d’amour
Keyvan Chemirani zarb, udu, daf